Dans cette histoire érotique, une Maîtresse nous raconte comment elle a associé BDSM et ABDL avec son soumis. Attention, c’est un brin hard....

Je lui ai dit que c’était pas la peine qu’il se fasse un lavement, que ce week-end j’avais d’autres projets pour lui. D’habitude, on fait du gode ceinture, du fist, du CBT, du .... enfin des tas de choses plus ou moins douloureuses, plus ou moins jouissives. Le week-end dernier, j’en ai fait un chien pendant plus de 24 heures et franchement, s’il y avait eu un contrôle de la SPA, j’étais bonne pour le tribunal. Il a adoré et moi aussi, alors on ne va pas porter plainte parce qu’on a pris du plaisir !

Quand il est arrivé, en guise de bonjour, je lui ai ordonné de se mettre à poil. Cala ne l’a pas chagriné, il est habitué à mes surprises, mes entrées en matière parfois originales. Une fois je lui ai fait les poches (pour retirer son téléphone et ses clés) je lui ai posé des menottes mains dans le dos et un collier avec une laisse. Après lui avoir posé un bandeau sur les yeux, je lui ai fait faire le tour du jardin avant de le pousser dans la piscine tout habillé. Accroupie sur la margelle, en jupe mais avec rien dessous, je lui tenais la tête hors de l’eau juste avec la laisse. Après je me suis assise au bord jambes écartées et il a du me lécher puis me boire si vous voyez ce que je veux dire. Je lui avais indiqué que s’il y avait de l’urine dans la piscine, je le noyais...

Je m’égare, revenons à ce week-end traumatisant.

Après lui avoir bandé ses yeux dès qu’il fut nu, je l’ai fait mettre à quatre pattes pour lui enfiler un plug tunnel gros modèle. Il s’agit de l’anti fuite de chez ABCplaisir. 6 centimètres de diamètre externe avec un tunnel de 42 millimètres. Il ne le voyait donc pas, puisque aveuglé et n’arrêtait pas de me dire qu’il n’avait pas fait de lavement. Après deux coups de pieds dans ses précieuses, il a fini par se taire.

https://abcplaisir.com/abdl-et-incontinence/1440-plug-tunnel-anti-fuite.html?search_query=plug+tunnel+&results=201

Je l’ai fait s’allonger sur le dos, à même le carrelage froid bien sûr, pour lui mettre une grosse couche pour personne incontinente et une culotte en plastique. L’ABDL ce n’est pas son truc, mais j’avais envie de jouer avec ça et de jouer avec l’humiliation. Pour un soumis à l’hygiène irréprochable, presque maladive, je trouvais cela amusant....

Une fois qu’il a été attaché, debout mains menottées dans le dos, avec une corde fixée à son collier pour l’obliger à rester debout, j’ai retiré son bandeau. Son premier réflexe a été de regarder sa tenue. Quand il a vu la couche et la culotte en plastique il est devenu blême.

Pour augmenter sa honte, je lui ai fait voir le plug d’ABCplaisir sur mon mobile en lui indiquant que c’est ce qu’il avait dans les fesses. Il est devenu tout rouge de honte. Habitué à mes folies, mes envies et surtout mon caractère, mon soumis ne s’est pas aventuré à râler ou supplier. Il savait que cela ne changerait rien et qu’en plus, il serait puni.

C’est à ce moment là, que j’ai décidé de devenir sympa et accueillante. J’ai accroché un bocal à lavement au dessus de sa tête. Dans ses yeux, il était facile de lire son angoisse et son désespoir. Après lui avoir mis le tuyau du bocal à lavement dans la bouche j’y ai vidé une bière bien fraîche.

J’ai débouché sa bouteille de champagne, c’est toujours du très bon qu’il apporte, et on a trinqué. Enfin, façon de parler, disons que j’ai cogné ma flûte contre le bocal à lavement en lui disant « santé » et je l’ai obligé à finir sa bière. Comme son champagne était vraiment excellent, j’en ai repris une seconde flûte, et n’étant pas égoïste, j’ai vidé une deuxième bière dans le bocal à lavement. Pour lui mettre la pression, je lui ai ordonné de ne pas uriner s’il ne voulait pas que je l’appelle le pisseux, humiliation totale pour un soumis à l’hygiène irréprochable.

• Tu n’as pas pissé au moins ?

Soumis a fait « non » de la tête, alors j’ai plongé ma main dans sa couche. Sa queue était toujours en bas et mole, chose rare avec mon sextoy sur pattes. Un ancien hardeur rencontré sur Fessestivites qui me comble quand j’en ai envie. L’envie m’est venue de tester le ballbusting en couche. Encore un truc que je n’avais jamais fait, vue que j’utilise rarement les couches. Il n’a pas trouvé que les protections protègent tant que ça des escarpins !

Comme il avait craché un peu de bière sous un de mes coups de pieds dans sa couche, je n’avais pas d’autres choix que de la punir. Cracher sur sa Maîtresse, cela ne se fait pas ! Quand il l’a fait sous l’impact de mon escarpin, j’ai bien cru qu’il allait se mettre à pleurer de honte. En guise de punition, j’ai accroché les pinces à seins à lester. Celles qui ont un petit seau accroché au milieu. Le fameux petit seau est devenu ma flûte à champagne. Comme par hasard j’ai eu souvent soif, ce qui me permettait de tirer sur les pinces. Quand il se plaignait, je claquais le devant de sa couche.

https://abcplaisir.com/bdsm/440-pinces-a-sein-avec-a-lester.html?search_query=pince+a+sein&results=66

Ensuite, j’ai remis une bière dans le bocal à lavement et j’ai glissé mon magic and massager entre sa couche et sa culotte plastique. Je l’ai laissé mijoter une dizaine de minutes en lui interdisant de pisser au milieu de mon salon, même avec une couche ! Régulièrement je tapotais l’arrière de sa couche en lui disant qu’il n’avait pas intérêt à faire « popo ». Le pauvre... Il faisait une de ces têtes de chien battu...

Et pour lui faire honte, je l’ai engueulé en lui disant qu’il avait commencé à se laisser aller. Alors je suis allée chercher le déodorant des toilettes en lui disant qu’il puait. MDR j’ai bien cru qu’il allait tomber dans les pommes quand j’ai pulsé autour de lui le spray Phytaromasol Assainissant parfum Pin Eucalyptus. Il ne sentais pas la m... mais ça, je ne risquais pas de le lui dire,....

Pour « fêter » son premier « popo couche » et sa régression, je l’ai poussé à reboire une bière, il m’a suppliée. Comme il m’ennuyait, je lui ai collé mon string dans la bouche en même temps que le tube du bocal à lavement. La cravache à la main, je lui ai conseillé de trinquer avec moi sans tarder.

• Je vais arrêter de boire le champagne dans le seau de tes pinces à sein, tu sens trop mauvais !

Cette phrase l’a achevé, ses yeux se sont humidifiés. Pour le consoler, je lui ai dit « pleure pas bébé, maman s’occupera de toi » et je lui ai fait un câlin en me pinçant le nez. Pour l’occuper, j’ai allumé la télévision sur la chaîne des dessins animés, en lui indiquant que c’était adapté à son âge. Pour un ancien hardeur ayant tourné des dizaines de vidéo porno, cette journée était pour lui l’humiliation totale.

Il a recommencé à marmonner, je ne comprenais rien et pour cause, avec mon string et le tuyau du bocal à lavement, cela n’aide pas. Je savais pertinemment ce qu’il voulait me dire en le voyant se dandiner d’une jambe sur l’autre. La bière avait fait son effet, sa vessie devait être prête à exploser, surtout que le gros magic continuait de vibrer entre sa couche et la culotte plastique.

• Tu veux que maman t’aide à faire ton premier pipi couche d’adulte, c’est ça ?

• mmmmmm (avec des mouvements de tête de gauche à droite)

• Tu pourrais articuler quand tu t’adresses à moi ! J’ai l’impression que tu régresses en vrai ! Je ne savais pas que la couche avait cet effet sur les hommes. Moi quand je mets une protection pour mes règles, je ne régresse pas. Allez fait un effort quand tu me parles.

• mmmmm

Comme il ne faisait pas d’effort, je lui ai mis un coup de poing dans le ventre. Oh pas très fort, mais juste au dessus de sa vessie. Il a poussé un grand cri étouffé par mon string. Ce n’était pas mon coup de poing qui lui avait fait mal, c’était juste sa vessie qui venait de déposer le bilan. Soumis avait des contractions comme s’il jouissait, j’ai adoré et pour l’accompagner dans cette expérience, j’ai planté mes ongles dans son dos et j’y ai fait des dessins.

L’envie de faire du Dark âge play m’est venue, enfin, disons que j’étais surtout très excitée et que j’avais très envie de lui. J’ai détaché la corde l’obligeant à rester debout au milieu de mon salon et je me suis allongée jambes écartées dans mon canapé. De l’index j’ai désigné mon chaton et mon gros bébé est venu me faire un cunni d’anthologie, comme pour se faire pardonner. Il est aussi une très, très bonne langue.... Non mesdames, je ne vous donnerai pas son pseudo sur Fessestivites, celui-là je le garde !

Hélas pour lui, j’avais envie de plus et surtout, pas envie d’attendre qu’il soit aller se doucher. Alors j’ai attrapé ses cheveux pour l’obliger à se mettre à genoux, j’ai baissé le devant de sa couche pour en extraire sa belle verge. « Pas comme ça s’il vous plait Maîtresse » m’a dit soumis. En guise de compassion, je lui ai donné une gifle avant de le menacer de le laisser comme ça jusqu’au lendemain s’il ne me faisait pas jouir avec sa queue. On a fait les tests SIDA depuis bien longtemps, cela me permet d’éviter le cellophane et comme bien souvent il est sous cage de chasteté, je suis tranquille.

J’ai guidé sa verge en moi et il a essayé de me satisfaire. A genoux avec les mains menottées dans le dos, ce n’était pas très pratique pour lui, et surtout, frustrant pour moi. On a fait une pause pour que j’attrape les clés et lui retire les menottes.

• Venge-toi bébé, mais juste avec ta queue et rappelle-toi, si tu ne me fais pas jouir, tu gardes la couche et le plug jusqu’à demain !

• Bien Maîtresse, puis-je me laisser aller ?

• Carte blanche pour réussir cette mission impérieuse qui est de satisfaire ta Maîtresse.

Je me suis faites démonter !

J’ai joui plein de fois.

J’ai du lui donner la permission de jouir pour que cela s’arrête.

Il a voulu faire un deuxième tour, j’ai dit « non gardes-en pour ce soir » !

Soumis a passé une heure à la salle de bain, mais je n’ai pas râlé. (Pour une fois)

..................

Le soir même, après qu’il m’ait lavée la tête et séchée avec sa langue, je l’ai attaché dans le lit bras et jambes en croix. Sa belle queue en érection me faisait de l’oeil, mais j’avais d’autres projets. Je l’ai laissé mariner un moment et je me suis mise une couche. C’était mon seul vêtement quand je suis revenue dans la chambre. Ses yeux étaient globuleux, il ne comprenait pas et c’est justement ça qui m’amusait. C’est avec cette tenue « glamour » que j’ai commencé à déguster mon sucre d’orge d’amour. Il peinait à bander dur au début à cause de la couche que je portais.

Si on y regarde bien, une couche, ce n’est qu’une grosse culotte et moi, cela ne m’a absolument pas dérangée d’en mettre une. Ce n’est pas mon truc, mais là, j’avais envie de m’amuser avec ses nerfs.

Pendant que je dégustais avec gourmandise mon sucre d’orge, je voyais bien qu’il n’avait qu’une envie : arracher ma couche et me baiser. Et bien non ! D’ailleurs pour le punir, je me suis mise dans la position du 69 en lui disant de bien écouter. Et là, tout en lui faisant une fellation de gloutonne, je me suis laissée aller. Ce n’est pas le pipi couche qui m’a rendue folle d’excitation, c’est de continuer de le déstabiliser. Comme je n’en pouvais plus de désir, j’ai écarté la protection et je me suis empalée un long moment. La couche a commencé à m’ennuyer, je l’ai retirée et jetée par terre et je me suis offerte à mon sextoy sur pattes en le libérant de ses entraves.

J’ai encore une fois été comblée, il est vraiment encore très en forme mon hardeur à la retraite ! ! ! Après qu’il ait joui en moi, je lui ai proposé un deal : me remettre une couche pour que je ne salisse pas les draps ou qu’il me lèche. N’aimant vraiment pas les couches, il n’a pas hésité un instant. Après x jouissances, je l’ai menacé de l’attacher aux pieds du lit et en couche s’il ne me laissait pas dormir.

C’est bizarre comme des fois mon autorité fait merveille ! Il m’a bordée, embrassée et s’est couché sagement comme « un grand bébé » de Fessestivites.

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.